« Quelle crise ? » : différence entre les versions

De Paul Gonze
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Le mot est sur toutes les lèvres et se profille dans [[Références sur la crise|toutes les consciences]] comme une inéluctable épreuve... une indispensable métamorphose... une mort nécessaire - voire un suicide - dans l'espoir d'une hypothétique renaissance.
[[Tentative de définition du mot crise|'''<u>Le mot</u>''']] est sur toutes les lèvres et se profille dans [[Références sur la crise|'''<u>toutes les consciences</u>''']] comme une inéluctable épreuve...&nbsp;une indispensable métamorphose... une mort nécessaire - voire un suicide - dans l'espoir d'une hypothétique renaissance.&nbsp;[[Pour sortir de la crise|'''<u>Même chez les artistes!</u>''']]<br>


Alors ici aussi pourquoi encore ajouter ma parole à d'autres paroles, ajouter mon petit bruit à tant d'autres bruits etainsi contribuer à l'échauffement général des cervelles?&nbsp;Dans l'espoir que la convergence et l'intensité de tant de messages parvienne à tous nous mobiliser pour freiner la machine avant la fatale collision? Quelle utopie mais soit...&nbsp;il vaut mieux que je m'amuse à cela plutôt qu'à tromper le sentiment de mon inutilité en m'agitant et en consommant frénétiquement.<br>
Alors ici aussi pourquoi encore ajouter ma parole à d'autres paroles, ajouter mon petit bruit à tant d'autres bruits etainsi contribuer à l'échauffement général des cervelles?&nbsp;Dans l'espoir que la convergence et l'intensité de tant de messages parvienne à tous nous mobiliser pour freiner la machine avant la fatale collision? Quelle utopie mais soit...&nbsp;il vaut mieux que je m'amuse à cela plutôt qu'à tromper le sentiment de mon inutilité en m'agitant frénétiquement et en consommant sans vergogne.<br>


Une autre motivation&nbsp; me pousse, celle de canaliser mes angoisse apocalyptiques, objectiver mes peurs mortifères, de ne pas attendre passivement, la tête enfouie dans le sable comme une autruche, que cela passe... que tout passe.
Une autre motivation&nbsp; me pousse, celle de canaliser mes angoisses apocalyptiques, objectiver mes peurs mortifères, de ne pas attendre passivement, la tête enfouie dans le sable comme une autruche, que cela passe... que [[Une onirographie, incomplète et imprécise|'''<u>TOUT</u>''']] passe.


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Dernière version du 28 décembre 2014 à 15:49

Le mot est sur toutes les lèvres et se profille dans toutes les consciences comme une inéluctable épreuve... une indispensable métamorphose... une mort nécessaire - voire un suicide - dans l'espoir d'une hypothétique renaissance. Même chez les artistes!

Alors ici aussi pourquoi encore ajouter ma parole à d'autres paroles, ajouter mon petit bruit à tant d'autres bruits etainsi contribuer à l'échauffement général des cervelles? Dans l'espoir que la convergence et l'intensité de tant de messages parvienne à tous nous mobiliser pour freiner la machine avant la fatale collision? Quelle utopie mais soit... il vaut mieux que je m'amuse à cela plutôt qu'à tromper le sentiment de mon inutilité en m'agitant frénétiquement et en consommant sans vergogne.

Une autre motivation  me pousse, celle de canaliser mes angoisses apocalyptiques, objectiver mes peurs mortifères, de ne pas attendre passivement, la tête enfouie dans le sable comme une autruche, que cela passe... que TOUT passe.


Ceci donc aussi est un brouillon dans lequel j'associe ma fin future et celle de l'homo sapiens


Se structurant en trois parties

1) De quoi suis-je malade?

2) Pourquoi suis-je malade?

3) Comment pourrais-je guérir?

...) Alors une arche de Noé?