Mes douze poèmes préférés

De Paul Gonze
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Pourquoi douze? Et pourquoi pas trente-six? Ou 999 ?

Oui, pourquoi pas...

  

Les Bijoux de Charles Baudelaire

Le Cimetière Marin de Paul Valéry

La prose du transsibérien et de la petite Jehanne de France de Blaise Cendrars

Le Bateau Ivre d'Arthur Rimbaud

Le Grand Combat d'Henri Michaud

Chanson d'automne de Paul Verlaine

La Diane française de Louis Aragon

L'amoureuse de Paul Eluard

L'infidèle de Maurice Maeterlinck

Les comptoirs de l'Inde de Guy Béart

Les quatre sans cou de Robert Desnos

Petit poème en prose de Charles Baudelaire

Depuis toujours d'Achille Chavée

Sanguine de Jacques Prévert

Le baiser de Dante Alighieri

Les oiseaux de passage de Jean Richepin

Le Fou de la Reine d'Antoine Bilal

Le Mot et la Chose par l'abbé de Latteignant

Les Enfants de Septembre de Patrice de la Tour du Pin

Autour de l'amour de Michel Maulpois

Les roses de Saadi de Marceline Desbordes-Valmore

Palmes de Paul Valery

El desdichado de Gérard de Nerval

Sous le pont Mirabeau de Guillaume Appolinaire



et, comme énième déposition, un des papowaimes  du papowête nombriliste ?