« Le rejet de Girolamo » : différence entre les versions

De Paul Gonze
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Dans l'Europe moyenâgeuse et aujourd'hui encore dans des régions les plus reculées de l'Orient, les femmes anxieuses de se trouver un mari cherchent à cueillir les fruits "bene pendes" d'un arbre majestueux (de l'espèce des cucurbitacées?) pour les avaler tout cru ou les mijoter à petits feux dans une sauce aigre-douce. 
Dans l'Europe moyenâgeuse et aujourd'hui encore dans des régions les plus reculées de l'Orient, les femmes anxieuses de se trouver un mari cherchent à cueillir les fruits "bene pendes" d'un arbre majestueux (de l'espèce des cucurbitacées?) pour les avaler tout cru ou les mijoter à petits feux dans une sauce aigre-douce. 
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Si l'on accorde quelque crédit à la théorie qui équilibre, en ce vaste mais fort peu connu univers, tout et son contraire comme le Yin et le Yang, d'autres arbres seraient encore à découvrir par la gent masculine.
Si l'on accorde quelque crédit à la théorie qui équilibre, en ce vaste mais fort peu connu univers, tout et son contraire comme le Yin et le Yang, la gent masculine pourrait être appelée à monter à d'autres arbres.

Version du 30 mai 2010 à 10:30


Dans l'Europe moyenâgeuse et aujourd'hui encore dans des régions les plus reculées de l'Orient, les femmes anxieuses de se trouver un mari cherchent à cueillir les fruits "bene pendes" d'un arbre majestueux (de l'espèce des cucurbitacées?) pour les avaler tout cru ou les mijoter à petits feux dans une sauce aigre-douce. 
Si l'on accorde quelque crédit à la théorie qui équilibre, en ce vaste mais fort peu connu univers, tout et son contraire comme le Yin et le Yang, la gent masculine pourrait être appelée à monter à d'autres arbres.