« Le livre Noir » : différence entre les versions
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Péché de jeunesse ? |
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Beau gros péché de jeunesse que son auteur ne renie pas ! |
Beau [[Un_huitième_péché:_quel_rêve!|<u>'''gros péché'''</u>]] de jeunesse que son auteur ne renie pas... puisqu'il en rit, parfois: tant de présages de ce qu'il s'obstine encore à resasser y sommeille pour [[L'éternité, c'est encore aujourd'hui|<u>'''l'éternité'''</u>]]! |
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Mais la chose est là: un boitier noir orné d'une lune noire; en son creux se glisse l'ouvrage pris dans une farde cartonnée noire trouée d'un croissant de lune; dans la farde, 50 pages volantes de carton crème marouflé sur lesquelles divers textes, dessins et impressions ont été reproduits manuellement; pas de signature si ce n'est un idéogramme japonais, "celui qui rêve", en rouge; la tranche de chaque carton est noircie sauf à l'arrière où l'on distingue de fins traits noirs se succédant en cascade: la pagination. |
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| ⚫ | Les référence sont évidentes, aux poèmes cultes de l'auteur: [[Le bateau ivre|"<u>'''Le Bateau Ivre'''</u>]]" d'Arthur Rimbaud, "[[La prose du transsibérien et de la petite Jehanne de France|<u>'''La Prose du Transsibérien et de la Petite Jehanne de France'''</u>]]" de Blaise Cendrars, "[[Le cimetière marin|<u>'''Le Cimetière Marin'''</u>]]" de Paul Valéry...et, bien évidemment, "[[Les bijoux|<u>'''Les Bijoux'''</u>]]" de Charles Baudelaire. |
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Pas de signature si ce n'est un idéogramme japonais, "celui qui rêve" en rouge. |
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La tranche de chaque carton est noircie sauf à l'arrière où l'on distingue de fins traits noirs se succédant en cascade: la pagination. |
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En voici cinq doubles pages: [[Livre Noir Extrait 1|<u>'''26-27'''</u>]], [[Livre Noir Extrait 2|<u>'''42-43'''</u>]], [[Livre Noir Extrait 3|<u>'''64-65'''</u>]], [[Livre Noir Extrait 4|<u>'''66-67'''</u>]] et [[Livre Noir Extrait 5|<u>'''78-79'''</u>]]. |
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Préludes à [[Entre PEAU & CIE et LIT & RATURE|<u>'''d'autres jouissances papowétiques'''</u>]]? |
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Version du 2 février 2016 à 09:15
Péché de jeunesse ?
Beau gros péché de jeunesse que son auteur ne renie pas... puisqu'il en rit, parfois: tant de présages de ce qu'il s'obstine encore à resasser y sommeille pour l'éternité!
Mais la chose est là: un boitier noir orné d'une lune noire; en son creux se glisse l'ouvrage pris dans une farde cartonnée noire trouée d'un croissant de lune; dans la farde, 50 pages volantes de carton crème marouflé sur lesquelles divers textes, dessins et impressions ont été reproduits manuellement; pas de signature si ce n'est un idéogramme japonais, "celui qui rêve", en rouge; la tranche de chaque carton est noircie sauf à l'arrière où l'on distingue de fins traits noirs se succédant en cascade: la pagination.
Les référence sont évidentes, aux poèmes cultes de l'auteur: "Le Bateau Ivre" d'Arthur Rimbaud, "La Prose du Transsibérien et de la Petite Jehanne de France" de Blaise Cendrars, "Le Cimetière Marin" de Paul Valéry...et, bien évidemment, "Les Bijoux" de Charles Baudelaire.
Texte se refermant en boucle sur le départ et le retour, la rencontre et la séparation, la vie et la mort: texte de jeunesse... (et de vieillesse?)
Edité à 36 exemplaires... épuisé.
Quelques extraits ont été publiés par Robert Varlez dans la revue "Minuit 25" en 1978, numéro ...
En voici cinq doubles pages: 26-27, 42-43, 64-65, 66-67 et 78-79.
Préludes à d'autres jouissances papowétiques?