« INCANT-AIA » : différence entre les versions

De Paul Gonze
Aller à la navigation Aller à la recherche
Contenu ajouté Contenu supprimé
Aucun résumé des modifications
Aucun résumé des modifications
Ligne 19 : Ligne 19 :
'''&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;'''&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp; [[Le Remords de Cranach|AIA ah]] &nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp; [[L'épineuse de Courbet|AIA oh]] &nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp; [[Le Vertige du Titien|AIA eh]] &nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp; [[Le Mille-pattes de Fontainebleau|AIA ih]] &nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp; [[L'Ombilic des Limbes de Goya|AIA uh]] <br>
'''&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;'''&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp; [[Le Remords de Cranach|AIA ah]] &nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp; [[L'épineuse de Courbet|AIA oh]] &nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp; [[Le Vertige du Titien|AIA eh]] &nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp; [[Le Mille-pattes de Fontainebleau|AIA ih]] &nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp; [[L'Ombilic des Limbes de Goya|AIA uh]] <br>


&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp; [[Anges ou Damnés|<strike>ueiao IAI aoeiu</strike>]]
&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp; [[De_Bouclées_en_Crollées_de_Lambeaux|<strike>ueiao IAI aoeiu</strike>]]


...&nbsp;/// que des [[La Récréation|plagiats]], plutôt vulgaires, des sublimes chefs d'œuvre de nos maîtres! ... Libre à vous de vous soumettre à des maîtres ou à des dieux. Pour ma part, je ne m'en reconnais aucun en cette [[Vol de Nuit de Kisling|nuit d'encre]] tramée d'illusions et tissée de mensonges ... théâtre, bordel ou île déserte que je rêve ou qui me rêve... Mais pourquoi refaire ce qui encombre le grenier de vos souvenirs? ... Eh oui, lorsque je dépoussière l'antiquaille, je la trouve souvent bien faite, je ne suis pas si difficile ... Si bien roulée, [[La chatte rousse d'Ingres|la chatte]], que je ne vois pas pourquoi je me fatiguerai à en imaginer des variantes plus angulaires ... La paresse, vous dis-je, oui la paresse, moteur de toute évolution et de nos chimériques progrès ... La chose est commune, plutôt banale, semblable aux gestes de [[Les chimères du Titien et de Velasquez|toutes les sirènes]] qui, en enfantant leurs filles, copient leurs mères... Plutôt vulgaires et de mauvais goût, j'en conviens! Aux yeux de ceux qui savent ce qu'est le bon goût, la bonne éducation, les bonnes mœurs et ne sont point [[Le Rejet de Girolamo|allergiques]] à la puanteur de ce qui est mort-né ... [[Avec Marie au désert du Titien|L'horreur, l'effroi, l'angoisse&nbsp;?]] ... Rien que pour le plaisir ... Puisque tu ne reconnais aucun acte de propriété édicté par quelques collectionneurs constipés, capitalistes spéculateurs ou gardiens de musées sur le dos puis la tombe des artistes, des travailleurs... Ce triangle est un jardin où tout le monde sème et cueille des [[Les points de fuite d'Ingres|pensées]] ... Il est mort et bien mort, [[Une histoire de perroquets?|le perroquet]] dont je m'inspire et son âme, s'il en a une, ne peut que frémir ici du plaisir que je lui redonne un souffle de vie ... Elles, elles m'ont donné la vie... Et mort, j'aimerais me retourner dans ma tombe quand un éphémère consacrera un peu de son temps à me cloner, me métisser, me batardiser: la jouissance papillon de ce viol! ... Hymne incantatoire ... AIA, AWA, EWA, onomatopées originelles soupirées ou criées par notre ancêtre entre les bras des mères, femmes, filles qu'aujourd'hui nous appelons [[Le dalhia de .a.i.a|Maia, Layla, Vanya, Dalida, Sabrina, Catina]] ... Oeuvres d'art, patrimoine de l'humanité, qui sont à tout le monde et pas seulement à ces veinards d'artistes qui, plutôt que d'aller au turbin, ont le loisir de se masturber dans leur [[La tour d'ivoire d'Ingres|tour d'ivoire]] et jouissent de les multiplier ... Elles, elles font de la vie ... Il est vrai que dans les musées, plus de 90&nbsp;% des nus sont féminins et moins de 10&nbsp;% des artistes sont des femmes ... Mais je suis de la même engeance: je sais lire et écrire, je n'ai pas trop faim de pain et, sans trop de [[Les vagues-à-l'âme de Boucher|vâgues à l'âme]], me gargarise à l'idée d'engendrer "une chose de beauté qui sera une source de joie pour l'éternité" ... [[L'oeil|La verdoyante fascination&nbsp;!]] ... Des innombrables fille-mères dont Giorgione, abusant de sa belle endormie, ignore être le père artificiel?. Bien sur que c'est à vendre à ceux qui ont de l'argent ... D'ailleurs je ne peux pas, elle est trop belle, cette [[L'Aérolithe de Velasquez|extraterrestre]], trop vraie alors que moi, [[L'écho d'un cri (de Munch)|je ne suis qu'un faussaire égaré dans la brume]] ... Trente-trois conneries, au moins ... L' éclair de génie, la seconde d'extase, la sublime illumination qui ne peut se recevoir qu'en s'oubliant, se donnant, s'aban-donnant ... [[L'Hermaphrodite|Minotaure en son labyrinthe]] devant lequel fuir pour ne se perdre inéluctablement qu'en Elle ... Il avait rêvé de planter sa pancarte dans le mitan triangulaire du cosmos: "[[Pour des pirates comme Modigliani|Not For Sale]]" ... Le collagiste? Un fainéant et un voleur aux doigts crasseux qui jonche votre salon de [[Le collier de perles de Baudry|confettis]]! Avant l'avènement de l'Informatique et de Son Saint-Esprit virtuel ... Plus surréaliste que virtuel! ... T’inquiètes, ça ne rime à rien, Marcelle … Vous me flattez mais je n'ai jamais adhéré à une quelconque secte ... Quelle image de la femme! Ou plutôt quelle absence de l'homme ... le vertige devant le vie, son attirance ... puis s'étendre dans l'herbe, fermer les yeux et se saouler de Son parfum ... au-delà, il fait [[NOIR EFFROI|de plus en plus froid, de plus en plus noir]] ... ///&nbsp;
...&nbsp;/// que des [[La Récréation|plagiats]], plutôt vulgaires, des sublimes chefs d'œuvre de nos maîtres! ... Libre à vous de vous soumettre à des maîtres ou à des dieux. Pour ma part, je ne m'en reconnais aucun en cette [[Vol de Nuit de Kisling|nuit d'encre]] tramée d'illusions et tissée de mensonges ... théâtre, bordel ou île déserte que je rêve ou qui me rêve... Mais pourquoi refaire ce qui encombre le grenier de vos souvenirs? ... Eh oui, lorsque je dépoussière l'antiquaille, je la trouve souvent bien faite, je ne suis pas si difficile ... Si bien roulée, [[La chatte rousse d'Ingres|la chatte]], que je ne vois pas pourquoi je me fatiguerai à en imaginer des variantes plus angulaires ... La paresse, vous dis-je, oui la paresse, moteur de toute évolution et de nos chimériques progrès ... La chose est commune, plutôt banale, semblable aux gestes de [[Les chimères du Titien et de Velasquez|toutes les sirènes]] qui, en enfantant leurs filles, copient leurs mères... Plutôt vulgaires et de mauvais goût, j'en conviens! Aux yeux de ceux qui savent ce qu'est le bon goût, la bonne éducation, les bonnes mœurs et ne sont point [[Le Rejet de Girolamo|allergiques]] à la puanteur de ce qui est mort-né ... [[Avec Marie au désert du Titien|L'horreur, l'effroi, l'angoisse&nbsp;?]] ... Rien que pour le plaisir ... Puisque tu ne reconnais aucun acte de propriété édicté par quelques collectionneurs constipés, capitalistes spéculateurs ou gardiens de musées sur le dos puis la tombe des artistes, des travailleurs... Ce triangle est un jardin où tout le monde sème et cueille des [[Les points de fuite d'Ingres|pensées]] ... Il est mort et bien mort, [[Une histoire de perroquets?|le perroquet]] dont je m'inspire et son âme, s'il en a une, ne peut que frémir ici du plaisir que je lui redonne un souffle de vie ... Elles, elles m'ont donné la vie... Et mort, j'aimerais me retourner dans ma tombe quand un éphémère consacrera un peu de son temps à me cloner, me métisser, me batardiser: la jouissance papillon de ce viol! ... Hymne incantatoire ... AIA, AWA, EWA, onomatopées originelles soupirées ou criées par notre ancêtre entre les bras des mères, femmes, filles qu'aujourd'hui nous appelons [[Le dalhia de .a.i.a|Maia, Layla, Vanya, Dalida, Sabrina, Catina]] ... Oeuvres d'art, patrimoine de l'humanité, qui sont à tout le monde et pas seulement à ces veinards d'artistes qui, plutôt que d'aller au turbin, ont le loisir de se masturber dans leur [[La tour d'ivoire d'Ingres|tour d'ivoire]] et jouissent de les multiplier ... Elles, elles font de la vie ... Il est vrai que dans les musées, plus de 90&nbsp;% des nus sont féminins et moins de 10&nbsp;% des artistes sont des femmes ... Mais je suis de la même engeance: je sais lire et écrire, je n'ai pas trop faim de pain et, sans trop de [[Les vagues-à-l'âme de Boucher|vâgues à l'âme]], me gargarise à l'idée d'engendrer "une chose de beauté qui sera une source de joie pour l'éternité" ... [[L'oeil|La verdoyante fascination&nbsp;!]] ... Des innombrables fille-mères dont Giorgione, abusant de sa belle endormie, ignore être le père artificiel?. Bien sur que c'est à vendre à ceux qui ont de l'argent ... D'ailleurs je ne peux pas, elle est trop belle, cette [[L'Aérolithe de Velasquez|extraterrestre]], trop vraie alors que moi, [[L'écho d'un cri (de Munch)|je ne suis qu'un faussaire égaré dans la brume]] ... Trente-trois conneries, au moins ... L' éclair de génie, la seconde d'extase, la sublime illumination qui ne peut se recevoir qu'en s'oubliant, se donnant, s'aban-donnant ... [[L'Hermaphrodite|Minotaure en son labyrinthe]] devant lequel fuir pour ne se perdre inéluctablement qu'en Elle ... Il avait rêvé de planter sa pancarte dans le mitan triangulaire du cosmos: "[[Pour des pirates comme Modigliani|Not For Sale]]" ... Le collagiste? Un fainéant et un voleur aux doigts crasseux qui jonche votre salon de [[Le collier de perles de Baudry|confettis]]! Avant l'avènement de l'Informatique et de Son Saint-Esprit virtuel ... Plus surréaliste que virtuel! ... T’inquiètes, ça ne rime à rien, Marcelle … Vous me flattez mais je n'ai jamais adhéré à une quelconque secte ... Quelle image de la femme! Ou plutôt quelle absence de l'homme ... le vertige devant le vie, son attirance ... puis s'étendre dans l'herbe, fermer les yeux et se saouler de Son parfum ... au-delà, il fait [[NOIR EFFROI|de plus en plus froid, de plus en plus noir]] ... ///&nbsp;

Version du 16 juin 2010 à 11:48

     

                                                                                              

                                                                                               Ce

                                                                                         troublant

                                                                              ouvrage triangulaire

                                                                       compile pour Son bonheur

                                                                 trente trois compositions triangulaires

                                                  à lire la tête en bas ou en haut de gauche ou de droite 

entre autres                      

                              AIA ah                   AIA oh                 AIA eh                   AIA ih                AIA uh

                                                                                ueiao IAI aoeiu

... /// que des plagiats, plutôt vulgaires, des sublimes chefs d'œuvre de nos maîtres! ... Libre à vous de vous soumettre à des maîtres ou à des dieux. Pour ma part, je ne m'en reconnais aucun en cette nuit d'encre tramée d'illusions et tissée de mensonges ... théâtre, bordel ou île déserte que je rêve ou qui me rêve... Mais pourquoi refaire ce qui encombre le grenier de vos souvenirs? ... Eh oui, lorsque je dépoussière l'antiquaille, je la trouve souvent bien faite, je ne suis pas si difficile ... Si bien roulée, la chatte, que je ne vois pas pourquoi je me fatiguerai à en imaginer des variantes plus angulaires ... La paresse, vous dis-je, oui la paresse, moteur de toute évolution et de nos chimériques progrès ... La chose est commune, plutôt banale, semblable aux gestes de toutes les sirènes qui, en enfantant leurs filles, copient leurs mères... Plutôt vulgaires et de mauvais goût, j'en conviens! Aux yeux de ceux qui savent ce qu'est le bon goût, la bonne éducation, les bonnes mœurs et ne sont point allergiques à la puanteur de ce qui est mort-né ... L'horreur, l'effroi, l'angoisse ? ... Rien que pour le plaisir ... Puisque tu ne reconnais aucun acte de propriété édicté par quelques collectionneurs constipés, capitalistes spéculateurs ou gardiens de musées sur le dos puis la tombe des artistes, des travailleurs... Ce triangle est un jardin où tout le monde sème et cueille des pensées ... Il est mort et bien mort, le perroquet dont je m'inspire et son âme, s'il en a une, ne peut que frémir ici du plaisir que je lui redonne un souffle de vie ... Elles, elles m'ont donné la vie... Et mort, j'aimerais me retourner dans ma tombe quand un éphémère consacrera un peu de son temps à me cloner, me métisser, me batardiser: la jouissance papillon de ce viol! ... Hymne incantatoire ... AIA, AWA, EWA, onomatopées originelles soupirées ou criées par notre ancêtre entre les bras des mères, femmes, filles qu'aujourd'hui nous appelons Maia, Layla, Vanya, Dalida, Sabrina, Catina ... Oeuvres d'art, patrimoine de l'humanité, qui sont à tout le monde et pas seulement à ces veinards d'artistes qui, plutôt que d'aller au turbin, ont le loisir de se masturber dans leur tour d'ivoire et jouissent de les multiplier ... Elles, elles font de la vie ... Il est vrai que dans les musées, plus de 90 % des nus sont féminins et moins de 10 % des artistes sont des femmes ... Mais je suis de la même engeance: je sais lire et écrire, je n'ai pas trop faim de pain et, sans trop de vâgues à l'âme, me gargarise à l'idée d'engendrer "une chose de beauté qui sera une source de joie pour l'éternité" ... La verdoyante fascination ! ... Des innombrables fille-mères dont Giorgione, abusant de sa belle endormie, ignore être le père artificiel?. Bien sur que c'est à vendre à ceux qui ont de l'argent ... D'ailleurs je ne peux pas, elle est trop belle, cette extraterrestre, trop vraie alors que moi, je ne suis qu'un faussaire égaré dans la brume ... Trente-trois conneries, au moins ... L' éclair de génie, la seconde d'extase, la sublime illumination qui ne peut se recevoir qu'en s'oubliant, se donnant, s'aban-donnant ... Minotaure en son labyrinthe devant lequel fuir pour ne se perdre inéluctablement qu'en Elle ... Il avait rêvé de planter sa pancarte dans le mitan triangulaire du cosmos: "Not For Sale" ... Le collagiste? Un fainéant et un voleur aux doigts crasseux qui jonche votre salon de confettis! Avant l'avènement de l'Informatique et de Son Saint-Esprit virtuel ... Plus surréaliste que virtuel! ... T’inquiètes, ça ne rime à rien, Marcelle … Vous me flattez mais je n'ai jamais adhéré à une quelconque secte ... Quelle image de la femme! Ou plutôt quelle absence de l'homme ... le vertige devant le vie, son attirance ... puis s'étendre dans l'herbe, fermer les yeux et se saouler de Son parfum ... au-delà, il fait de plus en plus froid, de plus en plus noir ... ///