« Zoetebier & Coquidor » : différence entre les versions
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Léon Zoetebier, alias Jacques Dujardin, est flallon tandis que Franz Coquidor, alias Paul Gonze (prononcé avec un "G" aspiré comme dans "Goedendag") serait d'extraction wamande.
Franz Zoetebier et Léon Coquidor sont deux des héros emblématiques que se disputent les folklores wamand et flallon. Émules du hollandais Joop Zoetemelk et du français Raymond Poulidor, éternels seconds trainant dans le sillage du cannibale Eddy Merckx, ils illustrent, en chevauchant leur bicane belgicaine ou en basculant de leur [[En Trotrinette derrière René Magritte|trotrinette peur-opéenne]], à quel point, en regardant dans des directions opposés, ils partagent l'étroitesse d'esprit et la manque de vision des politichiens les plus belgicâtres. <br> ▼
Héros emblématiques que se disputent les folklores flamand et wallon, ils serait cousins du hollandais Joop Zoetemelk et du français Raymond Poulidor, éternels seconds trainant dans le sillage du cannibale Eddy Merckx.
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Léon Zoetebier, avec sa cravate d'endeuillé sur chemise jaune et sous complet noir,
Franz Coquidor est un vieil ouvrier wallon en salopette rouge de syndicaliste qui parle avec les mains, enduites de cambouis, de machines d'un autre millénaire; Son petit foulard jaune prouve qu'il est encore coquet.
Il faut remarquer que la doublure du complet de Léon est rouge comme l’amour et, parait-il mais la chose n’a pas été vérifiée devant huissier, son caleçon. La salopette de Franz ne tient que grâce à des tirette-éclair noires; il porte toujours le même marcel, noir comme le charbon du temps passé.
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Version du 18 janvier 2011 à 15:46
Léon Zoetebier, alias Jacques Dujardin, est flallon tandis que Franz Coquidor, alias Paul Gonze (prononcé avec un "G" aspiré comme dans "Goedendag") serait d'extraction wamande.
Héros emblématiques que se disputent les folklores flamand et wallon, ils serait cousins du hollandais Joop Zoetemelk et du français Raymond Poulidor, éternels seconds trainant dans le sillage du cannibale Eddy Merckx.
En chevauchant leur bicane belgicaine ou en basculant de leur trotrinette peur-opéenne, ils partagent, en regardant dans des directions opposés, l'étroitesse d'esprit et la manque de vision des politichiens les plus belgicâtres.
Léon Zoetebier, avec sa cravate d'endeuillé sur chemise jaune et sous complet noir, passe pour être un jeune cadre dynamique, héros de cette Flandre qui gagne et pour qui la scission de la Belgique est une histoire de gros sous.
Franz Coquidor est un vieil ouvrier wallon en salopette rouge de syndicaliste qui parle avec les mains, enduites de cambouis, de machines d'un autre millénaire; Son petit foulard jaune prouve qu'il est encore coquet.
Il faut remarquer que la doublure du complet de Léon est rouge comme l’amour et, parait-il mais la chose n’a pas été vérifiée devant huissier, son caleçon. La salopette de Franz ne tient que grâce à des tirette-éclair noires; il porte toujours le même marcel, noir comme le charbon du temps passé.