« Un diner en noir et blanc » : différence entre les versions

De Paul Gonze
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Nous étions douze couples invités à diner au dernier étage d'une vieille maison flamande, aménagé en atelier d'artiste. Les hommes devaient être tout en noir, les femmes toutes blanches.
Nous étions douze couples invités à dîner au dernier étage d'une vieille maison flamande, aménagé en atelier d'artiste.&nbsp;<br>

Les hommes avaient été pris de s'habiller tout en noir.&nbsp;Les femmes étaient toutes blanches.

Après l'apéritif, au champagne, pris debout, de manièrefort informelle, le&nbsp; maître de céans nous à proposé de passer à table, une table de 5 mètres, demandant aux femmes d'occuper la moitié gauche, aux hommes la moitié droite.&nbsp;L'entrée était servie. Du coté des femmes, ça piaillait joyeusement chiffons et vacances tandis que les hommes discutaient sérieusement de politique et de finance. Puis, pour le plat principal, on dût changer de nouveaux de sièges avec les hommes et les femmes se retrouvant face à face...&nbsp;pour des discussions plus emflammées sur les droits et plaisirs d'être ceci ou cela. Au troisième acte, pour le desert, un mousse emmèlée de chcolat noir et blanc, chacun choisit librement ses voisins et voisines. Pour le pousse-café<br>

Version du 22 août 2010 à 10:55

Nous étions douze couples invités à dîner au dernier étage d'une vieille maison flamande, aménagé en atelier d'artiste. 

Les hommes avaient été pris de s'habiller tout en noir. Les femmes étaient toutes blanches.

Après l'apéritif, au champagne, pris debout, de manièrefort informelle, le  maître de céans nous à proposé de passer à table, une table de 5 mètres, demandant aux femmes d'occuper la moitié gauche, aux hommes la moitié droite. L'entrée était servie. Du coté des femmes, ça piaillait joyeusement chiffons et vacances tandis que les hommes discutaient sérieusement de politique et de finance. Puis, pour le plat principal, on dût changer de nouveaux de sièges avec les hommes et les femmes se retrouvant face à face... pour des discussions plus emflammées sur les droits et plaisirs d'être ceci ou cela. Au troisième acte, pour le desert, un mousse emmèlée de chcolat noir et blanc, chacun choisit librement ses voisins et voisines. Pour le pousse-café