Pralin(e)s pour Valenti(e)s

De Paul Gonze
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D'accord, cette fête en rose et ropuge, c'est devenu une enième recette dégoulinante de la société de l'obsolescence pour relancer la consommation bisous-nours.

Il n'empèche: ce petit ballotin de docuceurs pourrait taper dans l'oeil (ou l'estomac) d'un chocolatier qui en assumera la production en grande série.

Son principe: deux boities en forme de coeur, montés tête bêche, l'une contenant une orangette et deux manons  (ou deux "Mon Chéri") sur un lit de pétales de roses et de violettes confites dans le sucre, l'autre offrant une buche de massepain partiellement enrobé de chocolat noir de noir dont la base est soutenue par deux truffés au chamapagne (ou deux "Ferrero Rocher") parmi des cacahuètes.

 

Car l'amour toujours est aussi sucré que la mer est salée

 

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