Ou à Djerba
enroulés dans la tièdeur de la nuit
comme un nautiloïde dans la bleuité de l'océan
jusqu'à l'aube
dont la lumière, filtrée par un minuscule orifice dans les rideaux opaques,
renversait sur le mur blanc la danse des palmiers et du vent autour de la couploe de la mosquée