Mais pourquoi encore écrire?
- Jouissance solitaire, solipsiste
- pour savourer les mots, leur musique, leur allure trouble, équivoque et fuyante…
- pour se demander à quel point les mots nous définissent, nous cernent... et reconnaitre que ce que l'on ne peut nommer n'existe pas: écrire donc pour se persuader que l'on existe