« Piña Colada » : différence entre les versions

De Paul Gonze
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Petit souvenir d'un séjour de rêve à Cuba!
Petit souvenir d'un séjour de rêve à Cuba!


Pour éviter qu'il ne s'estompe trop vite, j'invite, quand le soleil me promet d'être de la partie, quelques ami(e)s et déshabille pour elles et eux un bel ananas doré des tropiques et le coupe en dés, après avoir conservé quelques demi-rondelles pour la beauté.
Pour éviter qu'il ne s'estompe trop vite, j'invite, quand le soleil me promet d'être de la partie, quelques ami(e)s et déshabille pour elles et eux un bel ananas doré des tropiques et le coupe en dés, après avoir conservé quelques demi-rondelles pour la beauté des rondeurs.


Je nappe mes dés de quelques cuillerées de sucre de canne blond et submerge le tout sous un litre de jus du même fruit (en boîte ou en bouteille car, hélas, Cuba est loin).
Je nappe mes dés de quelques cuillerées de sucre de canne blond et submerge le tout sous un litre de jus du même fruit (en boîte ou en bouteille car, hélas, Cuba est loin).
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J'ajoute un quart de litre de crème de coco bien épaisse.
J'ajoute un quart de litre de crème de coco bien épaisse.


Selon l'humeur des invité(e)s, un ou plusieurs godets de Roñ de La Mulata (''autres variétés autorisées à l'exception du Bacardi anticastriste)'' i ambré comme les insulaires et une dizaine de glaçons de la froide et vieille Europe.
Selon l'humeur des invité(e)s, un ou plusieurs godets de Roñ de La Mulata (''autres variétés autorisées à l'exception du Bacardi anticastriste)'' aussi voluptueusement ambré que les insulaires et une dizaine de glaçons de la froide et vieille Europe.


Je métisse le tout au mixer jusqu'à obtenir un liquide rafraïchissant aussi mousseux qu'émoustillant que je verse dans de beaux verres aux formes largement rebondies.
Je métisse le tout au mixer jusqu'à obtenir un liquide rafraïchissant aussi mousseux qu'émoustillant que je verse dans de beaux verres aux formes largement rebondies.

Version du 14 avril 2012 à 23:07

Petit souvenir d'un séjour de rêve à Cuba!

Pour éviter qu'il ne s'estompe trop vite, j'invite, quand le soleil me promet d'être de la partie, quelques ami(e)s et déshabille pour elles et eux un bel ananas doré des tropiques et le coupe en dés, après avoir conservé quelques demi-rondelles pour la beauté des rondeurs.

Je nappe mes dés de quelques cuillerées de sucre de canne blond et submerge le tout sous un litre de jus du même fruit (en boîte ou en bouteille car, hélas, Cuba est loin).

J'ajoute un quart de litre de crème de coco bien épaisse.

Selon l'humeur des invité(e)s, un ou plusieurs godets de Roñ de La Mulata (autres variétés autorisées à l'exception du Bacardi anticastriste) aussi voluptueusement ambré que les insulaires et une dizaine de glaçons de la froide et vieille Europe.

Je métisse le tout au mixer jusqu'à obtenir un liquide rafraïchissant aussi mousseux qu'émoustillant que je verse dans de beaux verres aux formes largement rebondies.

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