« ... ou entre Wutch et Bruxelles » : différence entre les versions

De Paul Gonze
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<p style="text-align: center">''au fond du siège avant droit d'une grosse Mercedes,''</p>
<p style="text-align: center">''au fond du siège avant droit d'une grosse Mercedes,''</p>
<p style="text-align: center">''bolide avalant des centaines de kilomètres d'autoroutes allemandes''</p>
<p style="text-align: center">''bolide avalant des centaines de kilomètres d'autoroutes allemandes''</p>
<p style="text-align: center">''afin que des bandes d'ombres bistres et de lumières orangées''</p>
<p style="text-align: center">''afin que des ondes d'ombres sombres et de brillances orangées''</p>
<p style="text-align: center"><span style="color: rgb(192, 192, 192)">''(projetées par des enfilades de myriades de lampes au sodium)''</p>
<p style="text-align: center"><span style="color: rgb(192, 192, 192)">''(projetées par des enfilades de myriades de lampes au sodium)''</p>
<p style="text-align: center">''remontent lentement, rythmiquement, infiniment vers le haut de ses cuisses''</p>
<p style="text-align: center">''remontent lentement, rythmiquement, infiniment vers le haut de ses cuisses''</p>

Version du 26 septembre 2023 à 12:37

ELLE ÉTAIT ASSISSE À MES CÔTÉS

 

au creux de la nuit

au fond du siège avant droit d'une grosse Mercedes,

bolide avalant des centaines de kilomètres d'autoroutes allemandes

afin que des ondes d'ombres sombres et de brillances orangées

(projetées par des enfilades de myriades de lampes au sodium)

remontent lentement, rythmiquement, infiniment vers le haut de ses cuisses

 

ET JE DEVINAIS SON SOURIRE

 


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