« Les maladies » : différence entre les versions

De Paul Gonze
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Je pourrais croire ou laisser d'autres me faire croire que c'est la terre, Gaia, qui est malade mais, ici aussi, je pècherai par anthropocentrisme, par nombrilisme.
Je pourrais croire ou laisser d'autres me faire croire que c'est la terre, Gaia, qui est malade mais, ici aussi, je pêcherai par anthropocentrisme, par nombrilisme.


La terre me survivra, survivra aux homo sapiens qui vont probablement disparaître sans empècher que d'autre formes de vie s'y dévelloppent. La crise, notre inénarrable et fantastique crise aura duré pour elle moins que le temps d'une démangeaison provoquée par quelques puces: une fraction de siècle par rapport à plus de quatre milliards d'années.
La terre me survivra, survivra aux homo sapiens qui vont probablement disparaître sans empècher que d'autre formes de vie s'y dévelloppent. La crise, notre inénarrable et fantastique crise aura duré pour elle moins que le temps d'une démangeaison provoquée par quelques puces: une fraction de siècle par rapport à plus de quatre milliards d'années.
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           - la multiplication et l'intensification des ouragans, des inondations, des sécheresses
           - la multiplication et l'intensification des ouragans, des inondations, des sécheresses

           - la dégazéifiation en méthane (gaz à super effet de serre)  des fonds océainiques de l'Artique et de l'Antartique ainsi que des tourdras et plaines à permafrost


La tropisation des océans, l'inversion du Gulf Stream et des autres grands courants océaniques
La tropisation des océans, l'inversion du Gulf Stream et des autres grands courants océaniques
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La pollution de la terre, de l'eau, de l'air
La pollution de la terre, de l'eau, de l'air


- par les métaux lourds (mercure, plomb, cadmium, tantale...)
           - par les métaux lourds (mercure, plomb, cadmium, tantale...)

           - par les pesticides, les engrais, les OGM, les nanoéléments




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Version du 18 mai 2010 à 16:10

Je pourrais croire ou laisser d'autres me faire croire que c'est la terre, Gaia, qui est malade mais, ici aussi, je pêcherai par anthropocentrisme, par nombrilisme.

La terre me survivra, survivra aux homo sapiens qui vont probablement disparaître sans empècher que d'autre formes de vie s'y dévelloppent. La crise, notre inénarrable et fantastique crise aura duré pour elle moins que le temps d'une démangeaison provoquée par quelques puces: une fraction de siècle par rapport à plus de quatre milliards d'années.


Le réchauffement climatique donc

           - la fonte des pôles, des glaciers, des zones de permafrost

           - la hausse du niveau de la mer,

           - la multiplication et l'intensification des ouragans, des inondations, des sécheresses

           - la dégazéifiation en méthane (gaz à super effet de serre)  des fonds océainiques de l'Artique et de l'Antartique ainsi que des tourdras et plaines à permafrost

La tropisation des océans, l'inversion du Gulf Stream et des autres grands courants océaniques

La perte de biodiversité, la mort des abeilles,

La prolifération cancérigène de l'homosapiens donc

           - L'explosion démographique

           - Famines, conflits

           - Concentrationnisme urbain

La pollution de la terre, de l'eau, de l'air

           - par les métaux lourds (mercure, plomb, cadmium, tantale...)

           - par les pesticides, les engrais, les OGM, les nanoéléments


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