Vendredi 2013-03-01

De Paul Gonze
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En ce premier vendredi et premier jour du mois de mars 2013, j'ai choisi d'honorer ma promesse en divaguant sur le thème de notre fin dernière. Certains se sont déjà aperçus que la crise était un sujet qui me travaillait et que j'étais assez paranoïaque que pour croire à la prochaine fin, non pas du monde, ni bien évidemment de l'univers, mais de l'humanité.

Dans cette apocalyptique perspective, il m'a plu de revisiter un de mes délires d'adolescent, non pas en immortels autant qu'épiques alexandrins, mais, après tant d'autres papowésies, en ce récit divin


Et, pour l'illustrer, quelle autre poésimage pouvais-je slectionner que cette variante Frankensteinnisée de l'Origine du Monde?


L'Hermaphrodite de Courbet assombri.jpg
L'Hermaphrodite de Courbet assombri.jpg


Cliché séducteur que j'ai déjà, dans le dédale de mon wiki, associé avec l'oeil du Tout-Puissant, Tout-Puissant qui ne m'est jamais apparu mais que, comme la majorité de mes semblables, on m'a conditionné à imaginer barbu.


Pour ne pas vous laisser la-dessus, une citation, consolatrice: Ce que la chenille appelle la fin du monde est, pour le papillon, le ciel où déployer ses ailes.