« Vendredi 2013-03-01 » : différence entre les versions

De Paul Gonze
Aller à la navigation Aller à la recherche
Contenu ajouté Contenu supprimé
Aucun résumé des modifications
Aucun résumé des modifications
Ligne 1 : Ligne 1 :
En ce premier vendredi et premier jour du mois de mars 2013, j'ai choisi d'honorer [[Les bouteilles à la mer de Vendredi|ma promesse]] en divaguant sur le thème de notre fin dernière. Certains se sont déjà aperçus que [[Tentative de définition du mot crise|la crise]] était un sujet qui me travaillait et que j'étais assez paranoïaque que pour croire à la prochaine fin, non pas du monde, ni bien évidemment de l'univers, mais de l'humanité.
En ce premier vendredi et premier jour du mois de mars 2013, j'ai choisi d'honorer [[Les bouteilles à la mer de Vendredi|ma promesse]] en divaguant sur le thème de notre fin dernière. Certains se sont déjà aperçus que [[Tentative de définition du mot crise|la crise]] était un sujet qui me travaillait et que j'étais assez paranoïaque que pour croire à la prochaine fin, non pas du monde, ni bien évidemment de l'univers, mais de l'humanité.


Dans cette apocalyptique perspective, il m'a plu de revisiter un de mes délires d'adolescent, non pas en immortels autant qu'épiques alexandrins, mais, [[Entre PEAU & CIE et LIT & RATURE|après tant d'autres papowésies]], en [[Mon Dieu|ce récit divin]]
Dans cette apocalyptique impatience, il m'a plu de revisiter un de mes délires d'adolescent, non pas en immortels autant qu'épiques alexandrins, mais, [[Entre PEAU & CIE et LIT & RATURE|après tant d'autres papowésies]], en [[Mon Dieu|cette divine bafouille]]


<br>
<br>

Version du 28 février 2013 à 23:10

En ce premier vendredi et premier jour du mois de mars 2013, j'ai choisi d'honorer ma promesse en divaguant sur le thème de notre fin dernière. Certains se sont déjà aperçus que la crise était un sujet qui me travaillait et que j'étais assez paranoïaque que pour croire à la prochaine fin, non pas du monde, ni bien évidemment de l'univers, mais de l'humanité.

Dans cette apocalyptique impatience, il m'a plu de revisiter un de mes délires d'adolescent, non pas en immortels autant qu'épiques alexandrins, mais, après tant d'autres papowésies, en cette divine bafouille


Et, pour l'illustrer, quelle autre poésimage pouvais-je sélectionner que cette variante Frankensteinnisée de l'Origine du Monde?


L'Hermaphrodite de Courbet assombri.jpg
L'Hermaphrodite de Courbet assombri.jpg


reconnaissant que j'ai déjà associé ce cliché séducteur, dans le dédale de mon wiki, avec l'œil du Tout-Puissant, Tout-Puissant qui, je le confesse, ne m'est jamais apparu mais que, comme la majorité de mes semblables, on m'a conditionné à portraiturer barbu.



                        Ce que la chenille appelle la fin du monde est, pour le papillon, le ciel où déployer ses ailes.