Le billet doux au seuil du bel été

De Paul Gonze
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... l'été, le bel été: quelle étincelante, claironnante combinaison de voyelles et de consonnes. Bien propre à nous inciter à jouir des jolis mois de uin, juillet, auôt, septembre

Mais est-ce par ce que, comme le rappelle Paul Valery dans son superbe poème du cimetière marin, "rendre la lumière suppose d'ombre une morne moitié" que ces trois lettres, ÉTÉ, représente aussi ce  qui est dépassé, qui ne sera bientôt plus qu'un souvenir

 

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