Le baiser de Francesca et Paolo

De Paul Gonze
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Je commençai: "Poète, je parlerais volontier à ces deux-là qui vontt ensemble et qui semblent, dans le vent, si légers."

Il me répondit: "Tu verras quanbd ils seront plus près de nous; alors prie-les au nom de cet amour qui les mène et ils viendront."

Aussitôt que le vent les eût poussés vers nous, j'élevai la voix: "O âmes toumentées, venez nous parlez, si un autre ne vous en empèche".

Telles les colombes poussées par le désir, les ailes déployées et immobiles, viennent à leur deux nid, porté&es dans l'air par leur volonté,

ainsi elles sortirent de la troupe oùesty Didon, venant vers nous à travers l'air mauvais, si puissant fut mon appel affectueux.

"O être gracieux et bienveillant, qui, par l'air d'un noir pourpré, v