« La réfugiée » : différence entre les versions

De Paul Gonze
Aller à la navigation Aller à la recherche
Contenu ajouté Contenu supprimé
Aucun résumé des modifications
Aucun résumé des modifications
Ligne 1 : Ligne 1 :
<p style="text-align: justify">Á chacune de mes visites des Musées Royaux d'Art et d'Histoire, au Cinquantenaire de Bruxelles, elle me faisait de l’œil, toute nue sous son tchador et donc, finalement, j'ai craqué pour une petite fortune, j'ai accueilli chez moi La Frileuse de Jean-Antoine Houdon, pas l'orignial évidemment mais sa petite soeur en plâtre de Paris. J'ai ainsi pu la caressée ici et là, la réchauffée dans mes rêves, me demandant quelle place j'allais lui donner dans le harem de mon petit aMusée.</p>
<p style="text-align: justify">Á chacune de mes visites des Musées Royaux d'Art et d'Histoire, au Cinquantenaire de Bruxelles, elle me faisait de l’œil, toute nue sous son tchador et donc, finalement, fatalement, j'ai craqué: pour une petite fortune, j'ai pu accueillir chez moi [https://artefields.net/imaginary-museum/jean-antoine-houdon-frileuse/ <u>'''La Frileuse de Jean-Antoine Houdon'''</u>], pas l'orignial évidemment mais une de ses petites soeurs en plâtre de Paris. J'ai ainsi pu la caresser ici et là, la réchauffer au creux de mes rêves, lui demander quelle place elle souhaitait prendre dans le harem de mon petit aMusée.</p>
[[File:La réfugiée animée.gif|center|600x800px]]Cà m'a pris des lunes,
[[File:La réfugiée animée.gif|center|600x800px|La réfugiée animée.gif]]
<p style="text-align: justify">Mais, après bien des lunes, elle a préféré valser seule surun ilôt enneigé encerclé par un lac si glacé qu'un feu de bois continue à y brûler, ne parvenant cependant qu'avec peine à la réchauffer un peu.les glaces</p>

&nbsp;
&nbsp;

Version du 29 octobre 2020 à 10:52

Á chacune de mes visites des Musées Royaux d'Art et d'Histoire, au Cinquantenaire de Bruxelles, elle me faisait de l’œil, toute nue sous son tchador et donc, finalement, fatalement, j'ai craqué: pour une petite fortune, j'ai pu accueillir chez moi La Frileuse de Jean-Antoine Houdon, pas l'orignial évidemment mais une de ses petites soeurs en plâtre de Paris. J'ai ainsi pu la caresser ici et là, la réchauffer au creux de mes rêves, lui demander quelle place elle souhaitait prendre dans le harem de mon petit aMusée.

La réfugiée animée.gif
La réfugiée animée.gif

Mais, après bien des lunes, elle a préféré valser seule surun ilôt enneigé encerclé par un lac si glacé qu'un feu de bois continue à y brûler, ne parvenant cependant qu'avec peine à la réchauffer un peu.les glaces