« La réfugiée » : différence entre les versions

De Paul Gonze
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Á chacune de mes visites des Musées Royaux d'Art et d'Histoire, au Cinquantenaire de Bruxelles, elle me faisait de l’œil, toute nue sous son tchador et donc, finalement, j'ai craqué pour 280 , je l'ai accueillie chez moi, l'ai caressée ici et là me demandant qiel place j'allais lui donner dans le harem de mon petit aMusée.
<p style="text-align: justify">Á chacune de mes visites des Musées Royaux d'Art et d'Histoire, au Cinquantenaire de Bruxelles, elle me faisait de l’œil, toute nue sous son tchador et donc, finalement, j'ai craqué pour une petite fortune, j'ai accueilli chez moi La Frileuse de Jean-Antoine Houdon, pas l'orignial évidemment mais sa petite soeur en plâtre de Paris. J'ai ainsi pu la caressée ici et là, la réchauffée dans mes rêves, me demandant quelle place j'allais lui donner dans le harem de mon petit aMusée.</p>
[[File:La réfugiée animée.gif|center|600x800px]]Cà m'a pris des lunes,

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Version du 29 octobre 2020 à 09:53

Á chacune de mes visites des Musées Royaux d'Art et d'Histoire, au Cinquantenaire de Bruxelles, elle me faisait de l’œil, toute nue sous son tchador et donc, finalement, j'ai craqué pour une petite fortune, j'ai accueilli chez moi La Frileuse de Jean-Antoine Houdon, pas l'orignial évidemment mais sa petite soeur en plâtre de Paris. J'ai ainsi pu la caressée ici et là, la réchauffée dans mes rêves, me demandant quelle place j'allais lui donner dans le harem de mon petit aMusée.

Cà m'a pris des lunes,