« L'espere luette » : différence entre les versions

De Paul Gonze
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Version du 1 novembre 2009 à 15:23


Manuscrit de 336 pages imprimées à l'encre violette sur papier bible rose avec intercalaires de papier de soie parme. Couverture en coussinets de cuir marouflé. Deux signets, en haut et en bas, pourpre et mauve. Les plis du début de l'ouvrage exhalent un parfum de rose, ceux de la fin une senteur de violette.

C'est sans doute à cause du caractère pornographique de certains passages de ce roman à l'eau de rose violacée que ses auteurs ont jugé préférable de se cacher derrière les initiales R. et V. . Cependant, selon le docteur Donald Ream, il ne s'agirait pas d'un couple mais d'un individu isolé, atteint de paranoïa schizophrénique aigüe, sa phobie le poussant jusqu'à prétendre ne pas être l'auteur mais seulement le traducteur d'un incunable provenant du légendaire Empire d'Onirie. Onirovna Kochmarsky affirme au contraire que le vrai nom de ce plagiaire est Hervé Airêvé et qu'il est en passe d'être interné. Ou exilé.

A la demande pressante d'Unalala Bwana, quelques extraits de ce roman rose sont reproduits dans ce wiki. Avec l'espoir que  quelques hypocrites lecteurs ou éditeurs ...  

                                                                  ... WMW ... XXX ... YWX ... KKK ... XOR ...


Pour mieux les comprendre, il n'est pas inutile de résumer l'histoire:  Rose, reine et magicienne d'Onirie, organise un bal masqué sur le thème de la descente aux enfers dans les caves de son palais pour choisir l'artiste qui réalisera son portrait. L'élu, un négre au double sens du terme, soutenu par la lavandière et sorcière Violette, sa maitresse, s'investira dans cette divine comédie en se confondant toujours plus avec son modèle pour finir par être Son oeuvre.

On peut aussi admettre que l'écriture est baroque,