« L'Héliophare d'Alexandrie » : différence entre les versions

De Paul Gonze
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En attente d'érection au-dessus des ruines de la septième merveille du monde, l’Héliophare est une île de paix et un foyer de communication au point de rencontre de l’Afrique, de l’Europe et de l’Asie.<br>Sa base est une structure flottante de 90 mètres de diamètre, en forme d’étoile à 5 branches. Ancrée dans la baie d’Alexandrie, elle permet, au travers de plancher et murs vitrés, l’observation des ruines archéologiques récemment découvertes. Par l’intermédiaire du réseau Internet, elle rassemble dans un réel musée imaginaire toutes les richesses de l’Egypte dispersées aux quatre coins du globe. Enfin, son aménagement interne offre une diversité d’espaces particulièrement adaptés pour des rencontres politiques, des événements culturels et des activités éducatives.<br>Cinq mâts en fibre de carbone s’élèvent des pointes de l’île pour converger à une hauteur de 106 m. Là, une intense source de lumière, visible à plus de 50 km, évoque le phare légendaire. <br>Son autonomie énergétique est assurée par une couverture de capteurs photovoltaïques dont le rendement est optimalisé par la rotation héliotrope de l’île. Ainsi, elle contribue à la prise de conscience de notre responsabilité écologique pour l’avenir de notre planète.<br>Le concept original a été développé par deux ingénieurs civils des mines, Bernard DELVILLE et Paul GONZE en association avec leur ami Egyptien Hussein RIZK, président de SOLA E. Sa réalisabilité technique a été établie par le bureau d’études NEY &amp; PARTNERS en association avec le bureau d’architecture AUD de Patrick PHILIPPE puis contrôlée par les professeurs des universités de Gand et de Louvain. Son coût est estimé à 20 millions d’EURO.<br>Après présentation d’une maquette de 2 m de haut et sur base de l’étude de pré-faisabilité, le Gouverneur d’Alexandrie, la Commission des Antiquités d’Alexandrie et le Ministre Egyptien de la Culture ont donné leur accord pour l’intégration de l’Héliophare dans la baie d’Alexandrie. Les responsables égyptiens apprécient en particulier que l’Héliophare ne nécessite aucune expropriation et ne perturbe pas le potentiel archéologique de la baie. <br>Pour parachever les études techniques et réunir les moyens financiers requis, une joint-venture Euro-Egyptienne a été enregistrée, avec un capital de 3.500.000 EURO. Ses principaux membres fondateurs sont ARAB CONSULTING ENGINEERS (Génie Civil), L.M.C. International s.a.(ensemblier), les CHANTIERS NAVALS DE NAMÈCHE. D’autres sociétés comme GLAVERBEL, BESIX, BEKAERT… pourraient s'associer au projet à titre de sponsors. Enfin, la Région Wallonne, au travers de l’AWEX, apporterait son soutien financier aux études et à la promotion du projet.<br>Une Fondation internationale devrait réunir les fonds requis pour la construction et garantir la mission culturelle et éducative de l’Héliophare. Cette fondation devrait avoir le parrainage de l’UNESCO, de la Communauté Européenne et de l’Etat Belge.<br>Certains se trouvent donc des raisons de rêver qu’à l'aube du troisième millénaire, une tour de la communication basée sur la technologie de demain, fruit d’une multitude d’enthousiasmes et d’élans de générosité, se dresse au-dessus des ruines du passé pour diffuser à l’échelle planétaire l’idéal scientifique et culturel qui fit la renommée de la première ville cosmopolite de l’histoire de l’humanité… et illustrer l’esprit d’initiative et de créativité des bâtisseurs d’Héliopolis.
En attente d'érection au-dessus des ruines de la septième merveille du monde, l’Héliophare est une île de paix et un foyer de communication au point de rencontre de l’Afrique, de l’Europe et de l’Asie.<br>Sa base est une structure flottante de 90 mètres de diamètre, en forme d’étoile à 5 branches. Ancrée dans la baie d’Alexandrie, elle permet, au travers de plancher et murs vitrés, l’observation des ruines archéologiques récemment découvertes. Par l’intermédiaire du réseau Internet, elle rassemble dans un réel musée imaginaire toutes les richesses de Égypte dispersées aux quatre coins du globe. Enfin, son aménagement interne offre une diversité d’espaces particulièrement adaptés pour des rencontres politiques, des événements culturels et des activités éducatives.<br>Cinq mâts en fibre de carbone s’élèvent des pointes de l’île pour converger à une hauteur de 106 m. Là, une intense source de lumière, visible à plus de 50 km, évoque le phare légendaire. <br>Son autonomie énergétique est assurée par une couverture de capteurs photovoltaïques dont le rendement est optimalisé par la rotation héliotrope de l’île. Ainsi, elle contribue à la prise de conscience de notre responsabilité écologique pour l’avenir de notre planète.<br>Le concept original a été développé par deux ingénieurs civils des mines, Bernard DELVILLE et Paul GONZE en association avec leur ami égyptien Hussein RIZK, président de SOLA E. Sa réalisabilité technique a été établie par le bureau d’études NEY &amp; PARTNERS en association avec le bureau d’architecture AUD de Patrick PHILIPPE puis contrôlée par les professeurs des universités de Gand et de Louvain. Son coût est estimé à 20 millions d’EURO.<br>Après présentation d’une maquette de 2 m de haut et sur base de l’étude de pré-faisabilité, le Gouverneur d’Alexandrie, la Commission des Antiquités d’Alexandrie et le Ministre Egyptien de la Culture ont donné leur accord pour l’intégration de l’Héliophare dans la baie d’Alexandrie. Les responsables égyptiens apprécient en particulier que l’Héliophare ne nécessite aucune expropriation et ne perturbe pas le potentiel archéologique de la baie. <br>Pour parachever les études techniques et réunir les moyens financiers requis, une joint-venture Euro-Egyptienne a été enregistrée, avec un capital de 3.500.000 EURO. Ses principaux membres fondateurs sont ARAB CONSULTING ENGINEERS (Génie Civil), L.M.C. International s.a.(ensemblier), les CHANTIERS NAVALS DE NAMÈCHE. D’autres sociétés comme GLAVERBEL, BESIX, BEKAERT… pourraient s'associer au projet à titre de sponsors. Enfin, la Région Wallonne, au travers de l’AWEX, apporterait son soutien financier aux études et à la promotion du projet.<br>Une Fondation internationale devrait réunir les fonds requis pour la construction et garantir la mission culturelle et éducative de l’Héliophare. Cette fondation devrait avoir le parrainage de l’UNESCO, de la Communauté Européenne et de l’État Belge.<br>Certains se trouvent donc des raisons de rêver qu’à l'aube du troisième millénaire, une tour de la communication basée sur la technologie de demain, fruit d’une multitude d’enthousiasmes et d’élans de générosité, se dresse au-dessus des ruines du passé pour diffuser à l’échelle planétaire l’idéal scientifique et culturel qui fit la renommée de la première ville cosmopolite de l’histoire de l’humanité… et illustrer l’esprit d’initiative et de créativité des bâtisseurs d’Héliopolis.


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Version du 13 août 2010 à 15:46

Héliophare Couple ancien nouveau.jpg
Héliophare Couple ancien nouveau.jpg


En attente d'érection au-dessus des ruines de la septième merveille du monde, l’Héliophare est une île de paix et un foyer de communication au point de rencontre de l’Afrique, de l’Europe et de l’Asie.
Sa base est une structure flottante de 90 mètres de diamètre, en forme d’étoile à 5 branches. Ancrée dans la baie d’Alexandrie, elle permet, au travers de plancher et murs vitrés, l’observation des ruines archéologiques récemment découvertes. Par l’intermédiaire du réseau Internet, elle rassemble dans un réel musée imaginaire toutes les richesses de Égypte dispersées aux quatre coins du globe. Enfin, son aménagement interne offre une diversité d’espaces particulièrement adaptés pour des rencontres politiques, des événements culturels et des activités éducatives.
Cinq mâts en fibre de carbone s’élèvent des pointes de l’île pour converger à une hauteur de 106 m. Là, une intense source de lumière, visible à plus de 50 km, évoque le phare légendaire.
Son autonomie énergétique est assurée par une couverture de capteurs photovoltaïques dont le rendement est optimalisé par la rotation héliotrope de l’île. Ainsi, elle contribue à la prise de conscience de notre responsabilité écologique pour l’avenir de notre planète.
Le concept original a été développé par deux ingénieurs civils des mines, Bernard DELVILLE et Paul GONZE en association avec leur ami égyptien Hussein RIZK, président de SOLA E. Sa réalisabilité technique a été établie par le bureau d’études NEY & PARTNERS en association avec le bureau d’architecture AUD de Patrick PHILIPPE puis contrôlée par les professeurs des universités de Gand et de Louvain. Son coût est estimé à 20 millions d’EURO.
Après présentation d’une maquette de 2 m de haut et sur base de l’étude de pré-faisabilité, le Gouverneur d’Alexandrie, la Commission des Antiquités d’Alexandrie et le Ministre Egyptien de la Culture ont donné leur accord pour l’intégration de l’Héliophare dans la baie d’Alexandrie. Les responsables égyptiens apprécient en particulier que l’Héliophare ne nécessite aucune expropriation et ne perturbe pas le potentiel archéologique de la baie.
Pour parachever les études techniques et réunir les moyens financiers requis, une joint-venture Euro-Egyptienne a été enregistrée, avec un capital de 3.500.000 EURO. Ses principaux membres fondateurs sont ARAB CONSULTING ENGINEERS (Génie Civil), L.M.C. International s.a.(ensemblier), les CHANTIERS NAVALS DE NAMÈCHE. D’autres sociétés comme GLAVERBEL, BESIX, BEKAERT… pourraient s'associer au projet à titre de sponsors. Enfin, la Région Wallonne, au travers de l’AWEX, apporterait son soutien financier aux études et à la promotion du projet.
Une Fondation internationale devrait réunir les fonds requis pour la construction et garantir la mission culturelle et éducative de l’Héliophare. Cette fondation devrait avoir le parrainage de l’UNESCO, de la Communauté Européenne et de l’État Belge.
Certains se trouvent donc des raisons de rêver qu’à l'aube du troisième millénaire, une tour de la communication basée sur la technologie de demain, fruit d’une multitude d’enthousiasmes et d’élans de générosité, se dresse au-dessus des ruines du passé pour diffuser à l’échelle planétaire l’idéal scientifique et culturel qui fit la renommée de la première ville cosmopolite de l’histoire de l’humanité… et illustrer l’esprit d’initiative et de créativité des bâtisseurs d’Héliopolis.


Héliophare Vue aérienne.jpg
Héliophare Vue aérienne.jpg