Semailles

De Paul Gonze
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Il n’éprouvait plus d’envie, plus de rancune, plus de regret.
Il ne cherchait plus à se souvenir, ni à oublier.
Il ne faisait plus rien : qu’y avait-il à faire ?


Il ne sentait même plus seul, triste, ou las.


Etendu sur son lit,
Les deux yeux grands ouverts
Dans la nuit, il reste




                                                                                               deux trous noirs dans le noir


              où elle semait, jaunes, oranges, rouges, des capucines